• Nous sommes allés au Bois de la Batie avec Lionel  notre animateur nature et environnement de la Frapna.

    Dans un premier temps nous avons pris un petit chemin le long d’un petit cours d’eau. Lionel nous a montré le barrage fait par les castors  et les coulées (chemins) qu’ils prennent pour aller chercher à manger.  Ce que nous retenons : le castor fait partie de la famille des rongeurs, il se sert de sa queue pour nager, il a aussi des pattes palmées il fait un barrage à l’aide des troncs qu’il ronge avec ses dents. Le castor vit dans une hutte qui est généralement appuyée à la berge. Elle est construite avec des branches de bois et de la terre. Cette hutte est en général composée d'une entrée et de deux chambres. L'accès s'y fait essentiellement sous l'eau, mais la chambre principale est sous terre.   

    Après avoir pris un petit chemin sous les bois nous nous sommes arrêtés devant un grand arbre entouré de lierre.

    Le lierre étouffe l’arbre il est toxique pour les animaux sauf pour les chèvres.

    Thomas a trouvé un ver de terre! Lionel a pris la bébête et nous a expliqué que cette petite bête creuse des tunnels qui aèrent la terre et favorisent ainsi l'enracinement des plantes et le développement des micro- organismes. Il sert aussi de nourriture aux taupes qui le coupent en 2 pour éviter qu'il s'échappe et le stock dans son garde manger. Les vers de terre se conservent ainsi un mois!

    Lionel nous a aussi expliqué le cycle de la feuille, elle tombe, elle est ensuite mangée par différents animaux ; limaces, cloportes, champignons puis elle se transforme en humus qui nourrit l'arbre etc....

    Etienne se demande qui vit dans ce trou?

    Des lapins a priori, il y a des crottes devant le terrier. Les lapins mangent plusieurs fois leur crotte..... à force de plusieurs digestions elles deviennent blanches!

    Pas loin un autre terrier pouvait aussi appartenir à un blaireau et à un renard qui peuvent cohabiter! Le renard ayant des règles d'hygiène moins exigeantes que celle du blaireau fait que Monsieur blaireau part au bout de quelques temps chercher un autre terrier.

    Nathalie Rossi


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  • Sortie à St Hilaire à l'occasion de la Coupe Icare

     

     

    J'ai bien aimé la coupe Icare et les jolis paysages. Il y avait des beaux et grands oiseaux.

    Jean-Christophe


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  • 22 septembre 2011, nous avons pris le chemin du Palais Idéal du facteur cheval à Hauterives dans la Drôme.

    Joseph Ferdinand Cheval, plus connu sous le nom du facteur Cheval est un facteur francais, célèbre pour avoir passé 33 ans de sa vie à édifier un « Palais idéal » et huit années supplémentaires à bâtir son propre tombeau, tous deux considérés comme des chefs-d'œuvre d'architecture naïve.

    Dès le début de ses longues tournées 33 kms il occupe ses heures de randonnée à de longues rêveries au cours desquelles il bâtit un « palais féerique », rêveries qui ne commenceront à être concrétisées qu'une dizaine d'années plus tard.

    Durant l'une de ses tournées, le pied du facteur bute contre une pierre, manquant de le faire tomber sur le chemin. Son œil ayant été attiré par la forme curieuse de la pierre, il la ramasse et la glisse dans l'une de ses poches avec l'intention de la regarder plus tard à tête reposée.

    Dès le lendemain, repassant au même lieu, il constate la présence d'autres pierres ayant des formes encore plus singulières et, à son goût, plus belles que celle qu'il avait trouvée la veille. Il se fait alors la réflexion que, puisque la nature pouvait « faire de la sculpture », il pourrait très bien lui-même, fort de ses longues rêveries préparatoires, se faire architecte, maître d'œuvre et ouvrier dans la construction d'un « Palais idéal ».

     

    Sylvie


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  • Nous avons fait une superbe sortie :

    la Ronde du Châtel à Mens

    Sur la commune de Mens, au Châtel un nouveau sentier de découverte de la forêt accessible à tous les publics. Familles, poussettes, seniors, Personnes à mobilité réduite …

    Le parcours a pour fil conducteur la convivialité pour tous!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De multiples approches de découverte de la nature, à la fois artistique, contemplative, sportive, culturelle, ludique et scientifique, sont proposées sur cette boucle d’1,5 km.

    Au fil de 6 clairières formant une « Ronde » à partager, la forêt appelle les visiteurs à vivre ensemble des activités :

     

     

    Composer avec la nature dans « le Coin des artistes ,

    Partager une veillée au « Théâtre de verdure »,

    Observer les animaux dans « l’Affût »,

    Dormir une nuit au « Bivouac »,

    Jouer et se défouler au « stade forestier Au fil de 6 clairières formant une « Ronde » à partager, la forêt appelle les visiteurs à vivre ensemble des activités :

    Composer avec la nature dans « le Coin des artistes »,

    Partager une veillée au « Théâtre de verdure »,

    Observer les animaux dans « l’Affût »,

    Dormir une nuit au « Bivouac »,

    Jouer et se défouler au « stade forestier ».

    Pour 2 heures, une journée, une soirée… prenez le temps !

    Large et plane, interdite à la circulation, c’est une promenade sécurisée à 1200 m d’altitude et à 6 km du village de Mens.

    Pour le confort de tous, la commune de Mens a également aménagé des bancs, des toilettes écologiques accessibles, ainsi qu’un stationnement réservé aux personnes en fauteuil.

    Le sentier est candidat à la labellisation Tourisme et Handicap.

    Cette opération a pu être réalisée grâce au soutien financier du programme européen FEDER « Des racines et des cimes » porté par le Syndicat d’Aménagement du Trièves, la Région Rhône-Alpes via le CTTLA du Trièves porté par la Communauté de communes de Monestier de Clermont, le Conseil Général de l’Isère et la Banque Populaire des Alpes.

    La conception technique du sentier et les travaux ont été réalisés par l’Office National

    Article écrit avec des extraits du "Trait d'Union Mensois" journal d'information de la commune de Mens.

     


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    Le 30 juin, nous avons fait une sortie avec Lionel de la FRAPNA sur une petite route de montagne à Perquelin.

    Cela se trouve à côté de St Pierre de Chartreuse.

    Voici ce que nous avons fait avec des feuilles de Pétazite ramassées dans le mégaforbier! (espace naturel humide)

    Lionel nous a ensuite montré ce champignon qui s'appelle l'amadou (champignon parasite)

    A l'époque prehistorique les hommes allumaient le feu grâce à des étincelles produites par la percussion de marcassite ou de pyrite contre une roche dure comme le silex. L'amadou permettait à l'étincelle de s'embraser facilement.

    Aujourd'hui il peut servir à allumer nos barbecues!

    Voici un bon exemple de saprophyte : être vivant qui se nourrit de matière organique.

    Voici de l'épinard sauvage (Le Chanapode Bon Henri)

    Il se reconnait facilement car sous ses feuilles il y a des minuscules cristaux qui roulent entre les doigts.

    Une campanule,

    La corolle est en forme de cloche, Lionel nous raconte alors une légende la concernant! Il était une fois...... une campanule en partant avec les cloches pour Rome prit la foudre vers le Mont Blanc. Elle se dispersa alors en particules qui une fois au soleil se reconstitua en une autre sorte de campanule plus petite.

    Non Lionel et Etienne ne cherchent pas des pépites d'or, mais des indicateurs vivants qui nous montrent que la rivière est en bonne santé!

     

    Une dernière rencontre sur le bord du chemin ; des limaces (animal hermaphrodite cet à dire que le même individu est tantôt mâle et tantôt femelle)

    Un échange de matière permet de féconder les futurs oeufs.


    Nous avons toujours autant de plaisir à écouter Lionel nous conter la nature!

    Vivement la prochaine sortie!


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